J’ai déjà écrit plusieurs billets consacrés à l’investissement personnel que l’on doit mettre dans son travail, que ce soit parce que les problèmes sont similaires malgré les différences d’échelle, ou parce qu’il y a toujours quelque chose à apprendre en entreprise, qu’il ne faut pas se sous-estimer, ou encore parce qu’il faut rester honnête en toute circonstance.
Comme je l’ai dit par le passé, il faut toujours chercher à progresser ; se mettre à la place des autres ; pensez aux choses auxquelles ils n’ont pas le temps de penser ; faire les choses qu’on est censé faire, pour leur éviter d’y penser à notre place ; apprendre de ses erreurs et ne pas y chercher d’excuse.
Je voudrais juste nuancer mon propos en disant qu‘il y a une limite à ce qu’on peut imposer aux autres.
Au sein d’une équipe
Cette limite est facile à atteindre quand on est « en bas » d’une hiérarchie, et qu’on tente d’imposer des solutions à ses supérieurs ou à l’ensemble du groupe. Le manque d’autorité empêche bien souvent de faire prendre aux autres le temps d’écoute et d’analyse nécessaire.
Mais cela peut aussi concerner des requêtes « top-down », qui peuvent être mal perçues car elles chamboulent les (mauvaises ou bonnes) habitudes.
Forcer les choses est la pire des démarches. Cela ne peut aboutir que sur des levées de boucliers.
Il vaut mieux adopter la technique du « courage, fuyons ! » :